Invincibles
Rapport à l'écran en ce lundi. Je suis tombée sur une série diffusée le mardi. Les invincibles, ça s'appelle.
J'en ai vu quelques épisodes en diagonale. Il y est question de quatre jeunes hommes ayant fondé un pacte (je n'ai pas vu l'épisode où il en était question)mais ce qui est sûr c'est que depuis ils arborent une montre bleue. Le pacte tourne autour du fait de quitter leur copine officielle, il me semble. Il y en a un qui a triché, parce qu'il n'est pas arrivé à se dépatouiller de la sienne, qui est même toute décidée à le conduire devant l'autel. La traîtrise est découverte, il est exclu du groupe. C'est Hassan, et c'est un peu mon favori je dois dire, car il a une bouille hautement expressive (de saint bernard blasé ou dépassé par les évènements) et s'il semble flegmatique au premier abord, on sent bien que le feu couve sous la cendre (il n'y a qu'à voir comment il propose un chocolat chaud à sa future femme voulant l'embringuer dans un choix de nappe pour mieux la bourrer de somnifères). Je suis sûre que je vous ai donné envie de le voir, non ? C'est sur Arte et demain débute la saison 2.
Il faut savoir que ce blog lui-même possède ses 4 invincibles, si si. J'ai nommé, Paul Valery (les poètes morts, rien de tel pour vous faire gagner en popularité, en un sens c'est fortement rassurant), Jan Svankmajer (les noms à coucher dehors n'effraient pas non plus les gens d'ici, le surréalisme interpelle encore également), les cadavres (requête google quasi unique conduisant des pélerins jusqu'ici, la mort ne laisserait-elle pas indifférent ?) et Jean-Marc Pontier (invincible inaugural et qui plus est, rencontré en chair et en os, excusez du peu ! C'est un peu tard pour vous dire qu'il était à Angoulême).
Inspiré par Chrys.