Sombre dimanche
Ce matin, je lis chez loula, ces mots un manteau neigeux nous enveloppait (...) comme un linceul blanc, ce linceul me surprend.
Ce soir, au détour d'un programme télé, ce titre Mano Solo est mort.
Boomerang violent.
L'article se termine sur les paroles extraites de C'est plus pareil : "J'ai tellement parlé de la mort, que j'ai cru la noyer, la submerger de ma vie, l'emmerder tant et tellement, qu'elle abandonne l'idée même de m'emmener avec elle".